Quelles vont être les conséquences de l’économie de guerre que nous allons devoir affronter ? :
- D’abord, notre dette va passer de 3 000 milliards à 5 000 milliards en peu d’années, voire peu de mois
- Le pouvoir d’achat des Français va perdre encore 20 à 30 %, voire davantage ; il faut être réaliste
- Nos valeurs vont être mises à rude épreuve
- L’unité des Français sera difficile à conserver et on verra réapparaître des collaborateurs, des fraudeurs, etc.
- Une nouvelle résistance va se créer comme en 1943
- On ne recherchera plus le futur de nos enfants mais on s’inquiétera pour leur vie
- L’industrie de guerre fonctionnera à plein régime
- On sera encore heureux d’avoir en France une agriculture qu’il nous faut protéger aujourd’hui plus que jamais
- On comprendra mieux l’importance de notre liberté et de notre vie
- Il nous faudra, plus que jamais, éviter les folies de la nature et veiller à nos constantes vitales
Que faut-il faire ?
- Si nous ne répondons pas présents aujourd’hui, nous ne serons plus là demain
- La France se doit de devenir un fer de lance dans cette situation ; il ne faut pas attendre, on a déjà perdu assez de temps
- Il nous faut retrousser nos manches et tenter de conserver la France
- Il nous faut préserver nos valeurs, dans la peur.
Quand Trump annonce la paix
Peut-être que oui, mais à quel prix pour les Ukrainiens et les Palestiniens ?
Avant toute élection, on promet monts et merveilles, surtout quand il s’agit de préserver ou d’aider hors de nos frontières.
Trump, élu Président, que peut-il faire pour stopper les guerres ainsi que l’immigration aux États-Unis ? Aux États-Unis, comme en Europe, l’immigration n’est plus l’affaire des Etats mais celle d’un manque de main-d’œuvre qu’elle apporte à bon marché.
Monsieur Trump se croit bien trop fort contre le reste du monde et je ne sais ce qui se produirait aux États-Unis le jour où les Russes débarqueraient en Alaska, suite à la folie de Monsieur Poutine.
D’autre part, Monsieur Trump a bien conscience que vendre les produits que les États-Unis fabriquent dépend de l’Europe. On parle bien souvent des technologies américaines : oui, bien sûr, mais souvent grâce à des ingénieurs européens.
Il est vrai que les États-Unis sont un allié mais pas toujours sur tout et on est loin de copiner.
Trump et Poutine sont à classer dans la même catégorie : ils sont tous deux un peu fous. Ils ne voient que leur pays ; mais aujourd’hui peut-on se borner à cette vue de l’avenir ?
Pour les États-Unis, la grandeur est celle du PIB et du profit. Pour la Russie, c’est l’ambition de la grandeur terrestre de son pays.
On s’aperçoit que le nucléaire est dépassé aujourd’hui : il demeure une arme importante mais beaucoup trop dangereuse pour l’un comme pour l’autre. Nous voilà revenus à une technologie où le plus petit peut mettre le plus grand en échec par une avance de quelques millimètres dans sa technologie.
J’aimerais qu’un jour, au lieu d’avoir toutes ces ambitions, on pense à l’homme et à tout ce qui le détruit, dans la nature. Et là, on tombe dans l’infiniment petit. Pour moi, la vieillesse est une maladie millénaire que l’on doit combattre par une technologie simple.
Monsieur Trump : l’Amérique est en train d’être dépassée, non pas dans l’espace, mais seulement dans l’infiniment petit sur terre.