Il est vrai que la majorité des cartes se trouvent dans la nature. L’homme est encerclé par un environnement qui le ronge et le tue.
C’est pourquoi ce que je propose est a minima, en limitant l’espace et la durée pendant laquelle nos cellules pourront reconstituer leurs réserves.
C’est comme avec un radiateur : on ne va pas chauffer l’espace, on se contente d’un lieu bien précis et pendant un temps déterminé.
Je n’ai rien inventé d’extraordinaire mais Hygée sera une petite révolution qui nous mettra à l’abri des maladies, de la fatigue, de la vieillesse, pour une espérance de vie plus longue.
Il nous faut optimiser tout ce que l’on peut faire. Alors, faisons-le et nous n’aurons plus de problème de prix, de charges, de retraite. Tout ceci sera balayé et se diffusera dans notre corps, comme la chaleur se diffuse dans un local.
L’homme est une créature aux pieds d’argile. Faisons en sorte que l’argile devienne de l’acier et nous redonnerons à l’humanité un nouvel espace de vie, un nouveau mode de vie, qui nous permettra enfin de voir notre futur sous un autre angle, pour nous et pour nos enfants.
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Directement et indir06ectement
L’invisible est le non ressenti tuent, chaque année, 70 millions d’hommes et de femmes dans le monde, c’est-à-dire 700 personnes chaque seconde. Que de bras, que d’efforts perdus inutilement.
Ce que je propose, c’est un accroissement de 50% de la production nationale, sans fatigue supplémentaire, dans la durée bien sûr.
Si, aujourd’hui, les Chinois peuvent fournir des prix très bas, c’est que les charges sociales n’existent pas chez eux. En France, les charges représentent 60% des prix.
Que de discours et si peu d’actions sont les maîtres-mots de notre pays. Il ne suffit pas d’envisager davantage de défense, faut-il encore que nos soldats aient la force pour utiliser les moyens qu’on leur aura donnés.
Décidément, l’homme ne compte pour rien. La vie n’a pas de prix, la liberté non plus. Qui aujourd’hui s’en inquiète ?
De toute manière, rien ne sera possible sans mettre fin au monopole de la médecine. Là, comme ailleurs, la concurrence doit exister.
Il ne faut pas se contenter de ce que l’on a appris, il faut réactualiser ce que l’on sait. Essayons de ne pas être des ignares. Constatons et osons casser ce qui a échoué aujourd’hui.
Il faut remettre l’ouvrage sur le métier en ne se servant pas seulement de ce que l’on sait mais de tout ce que l’on peut constater des conséquences de l’invisible et du non ressenti.
