J’ai bien écouté votre discours à l’Assemblée Nationale, un très long discours dans lequel je n’ai entendu que pendant 10 secondes le mot « santé ».
Monsieur Bayrou, tout le reste en dépend.
- Il n’y aura aucun succès sans une bonne santé.
- Il n’y aura aucune bonne économie sans la santé.
- Il n’y aura aucune nouvelle découverte sans la santé.
Force est de constater qu’à ce jour, 5 millions de Français sont atteints d’un cancer et 5 millions supplémentaires ont un cancer sans le savoir.
Tous les Français supportent la vieillesse mais ne la vivent pas agréablement. Il faut gagner du temps, Monsieur Bayrou, et la seule solution, à ce jour, c’est encore la régulation des phénomènes atmosphériques.
Et nous savons le faire.
Les Français sont frappés par une nature déréglée dont nous sommes parfois responsables, tel que pour les flux magnétiques.
Les Français se fatiguent de plus en plus vite.
Ils ne pourront pas travailler longtemps dans ces conditions.
C’est donc pour la santé qu’il faut trouver des solutions et j’en ai une, c’est la régulation des pressions atmosphériques et des flux magnétiques.
Bien sûr, Monsieur Bayrou, je ne veux pas modifier ce que Dieu a créé mais Dieu a créé l’homme à son image.
- Oui, on peut gagner du temps.
- Oui, on peut gagner de l’énergie.
- Oui, on peut envisager d’aller très loin dans l’espace.
Mais, là aussi tout commence par la santé.
La santé, c’est de l’or en barre.
Et je dirai que c’est beaucoup plus encore, c’est la vie, une vie qu’on peut prolonger, en pleine forme, dans des proportions importantes.
Puisse votre Ministre de la santé prendre le chemin qui évitera d’avoir à soigner.
Le résultat de ce choix, c’est une économie de 350 milliards, chaque année, que coûte la Sécurité Sociale.
Et avec 350 milliards, il y aura beaucoup de choses que l’on pourra faire et même réduire considérablement la dette que devront payer nos enfants.
Essayons que cette dette soit payée par nous.
Et nous savons le faire.
Il n’est pas un médecin au monde qui puisse dire le contraire.
Et je n’ai entendu qu’une phrase :
« on n’y a pas pensé ».
On ne peut pas tout faire à la fois
On ne peut pas tout faire en même temps.
Pour une maison, on commence par les fondations, puis les murs et enfin, le toit.
Pour notre vie, c’est la même chose.
- Il faut établir les fondations de notre vie.
- Il faut les protéger et l’on pourra bâtir les murs.
- Il faut suivre le bon ordre.
Aujourd’hui, les partis politiques veulent tout à la fois, le beurre et l’argent du beurre.
Mais ce n’est pas ce que veulent les Français.
Ils ont des enfants et ils veulent leur assurer un futur.
Il faut donc prendre, dès le départ, le bon chemin.
Une fois les fondations faites, il faudra persévérer à les entretenir.
Il en est de même pour notre vie.
La vie est régie par un ensemble de constantes.
Il nous faut tout simplement en assurer la régulation.
Irréalisable hier, réalisable aujourd’hui.
Et ce n’est pas l’argent qui manque car il ne s’agit pas de faire une dépense mais simplement un investissement minime qui nous permettra d’éviter les grandes maladies et de perdre chaque année 1% de notre défense immunitaire.
Oui, on ne peut pas tout faire à la fois mais, de grâce, commençons par le début qui permettra à tout le reste de se construire.
Mais pourquoi les partis politiques ne vivent que dans le rêve ?
Ce que je propose est un rêve pour eux.
Et pourtant, pas la moindre économie ne peut se faire sans la santé.
Aujourd’hui, on passe son temps à boucher les trous.
Alors, si on évitait de faire des trous ?
Ce que je propose n’est pas seulement un problème d’argent, c’est un problème d’incrédulité.
Serait-il plus judicieux de proposer encore moins pour que tout le monde y croie ?
90% des problèmes de santé peuvent être résolus.
Demander sans cesse de l’argent pour résoudre ces problèmes n’est plus crédible, 50 ans, voire 60 ans après.
Dépenser des sommes fabuleuses dans les laboratoires ne me semble pas être la solution et le Général de Gaulle disait :
« je préfère un qui trouve que cent qui cherchent ».
Les laboratoires pharmaceutiques sont devenus omnipotents sans résultat probant.