Les sous-hommes et les surhommes

Les Américains, ou tout du moins Monsieur Trump, nous considèrent comme des sous-hommes et croient pouvoir faire de nous leurs vassaux.

Nous, les Européens, nous n’entendons pas être considérés de telle manière. Monsieur Trump pense avoir des disciples, des surhommes, parmi les Américains mais il faut déjà savoir qu’ils sont plus malades que les Français.

Aux Etats-Unis, beaucoup de choses nous sont cachées. Ne serait-ce pas pour dissimuler leurs difficultés que Monsieur Trump veut les faire valoir comme des surhommes ?

Les Etats-Unis sont les plus endettés du monde avec 60 000 milliards de dettes. Alors, on montre les crocs pour faire croire que les Américains vivent bien. C’est comme le chien qui aboie.

Certes, le PIB américain est près du double du nôtre. C’est une évidence. Mais les choses pourraient changer dans les 20 ou 30 ans à venir.

Les mesures que prend Monsieur Trump ressemblent étrangement à ce qu’avait fait l’URSS à une certaine époque. Monsieur Trump pense pouvoir vivre en autarcie.

Les Français et l’ensemble des Européens comptent 500 millions d’habitants, soit deux fois plus que les Etats-Unis. Les prix aux Etats-Unis sont pratiquement du double des nôtres. En s’isolant ainsi, Monsieur Trump pourrait bien avoir des problèmes avec ses électeurs.

Il est toujours facile de penser que les autres sont la cause de leurs difficultés.

L’Europe, pendant ce temps, va pouvoir vivre en pleine forme et très longtemps.

Monsieur Trump a des laboratoires exceptionnels. Il a un Ministre qui va dans l’espace et qui envisage d’aller sur Mars. Ne nous trompons pas. La durée du mandat de Monsieur Trump n’est que de 4 ans. Il n’est pas certain qu’à mi-mandat il conserve la majorité à la Chambre et au Sénat.

L’Europe a ses atouts. Il va falloir les développer. Le seul mérite de la position de Monsieur Trump et d’avoir réveillé l’Europe.

 

L’expérience d’un passé

Ce n’est pas avec un passé que l’on prépare le futur. Le passé permet uniquement d’éviter certaines erreurs.

Tenter d’utiliser le passé pour gouverner ne suffit plus. L’évolution des techniques mais aussi de la pensée a bouleversé le monde scientifique.

Les drones ont tout changé pour gagner une bataille. Les régulateurs de nos constantes physiques vont bouleverser notre futur et même notre présent. Ils vont changer le monde.

Dans le passé, on a rarement cherché les causes de nos malheurs. On se demande pourquoi ? C’était pourtant simple.

Il semble que ce soit l’argent qui, en fait, contribuait à ce malheur. La vie n’a pourtant pas de prix et on la néglige trop souvent. Elle peut être la source de nos bonheurs, de nos chances, de nos réalisations.

Que peut-on faire sans la vie ? Ceci peut s’adresser à Monsieur Trump tout comme à nos dirigeants actuels.

 

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