Faute de compétences, on va utiliser notre esprit patriotique pour travailler plus et mieux. Quelle honte !
On va transformer l’homme en machine pour produire plus et mieux.
En un temps, on s’est servi des religions pour faire des miracles. Aujourd’hui, c’est notre premier ministre qui nous le demande.
Faute d’avoir donné à l’homme les mêmes compétences que la machine, nous voilà réduits à utiliser l’esprit patriotique. En cent ans, on a donné à la machine de produire cent fois plus mais qu’a-t-on fait pour l’homme ?
L’homme n’est pas une machine, me direz-vous. Je veux bien l’admettre, mais alors il ne faut pas lui en demander davantage.
C’est grâce à une petite machine qu’on va arriver à donner à l’homme toute sa puissance. On va lui donner la possibilité de conserver toutes ses facultés très longtemps.
Cela paraît ridicule, n’est-ce pas ? Mais c’est toujours le plus simple qui aboutit à de bons résultats.
Ce qui est curieux, c’est que le monde médical ne m’a jamais contredit. Pourquoi si ce n’était pas le bon chemin ?
On est encore dans la période du doute mais viendra, d’ici quelques mois, la période de l’évidence. Convaincre n’est pas toujours facile et plus c’est simple, plus c’est difficile à faire accepter, par incrédulité.
J’ai appris, dans ma vie, que pour aboutir à de véritables petites révolutions, telles que la suppression des monopoles, il fallait 20 ans. Il en sera de même pour Hygée le régulateur.
Et même si ce n’est pas moi qui le ferai, d’autres prendront la relève.
Il a fallu des siècles pour que les rivières creusent leur chemin ; 20 ans, ce n’est pas très loin pour que l’homme reprenne son vrai chemin.
Ce n’est qu’à l’aveuglement du monde de l’argent que nous sommes réduits.
La cyber-nature
On parle sans arrêt des attaques cybernétiques. On se sert de la cybernétique pour détruire les données, pour paralyser les avions, pour paralyser les réseaux mais a-t-on fait le nécessaire pour stopper ces cyber-attaques de la nature ?
S’attaquer à la nature, ou tout du moins à ses dérives, paraît impossible. La nature est une chasse gardée. Oui, c’est vrai, c’est une chasse gardée, mais pas dans ses dérives.
Ses dérives broient l’homme, jour après jour, à raison de 1% chaque année.
Bien sûr, la médecine a essayé de prolonger la vie, mais en vain. Certes, on a peut-être triplé la durée de vie mais, dans le même temps, on a triplé le pouvoir de la machine par mille. Jusqu’ici, la machine fait ce qu’on lui demande et pour l’homme, on s’est contenté de peu.
Oui, ce n’est qu’un petit ingénieur qui va changer notre manière de vivre. Puiss-t-il le faire comprendre, le réaliser, pour que nos enfants et nous-mêmes puissions le voir réellement dans moins de 20 ans et tous l’utiliser.
