Le 15 avril dernier, vous avez dit que la France était au bord du gouffre.
Pour moi, elle est dans le rouge au bord d’un volcan.
C’est bien la faute de la politique qui a été menée, et rien d’autre.
Demander aux Français de travailler plus et mieux, faut-il encore leur donner une autre santé.
Se plaindre ne sert rien, Monsieur le Premier Ministre, car personne ne vous plaindra.
Eviter de jeter 350 milliards chaque année pour l’Assurance Maladie est aujourd’hui possible en évitant d’être malade et de vieillir prématurément.
Oui, je sais, vous allez me dire que ce sont des sornettes et pourtant, c’est l’évidence, et ça marche.
Eviter les cancers, l’arthrose, le vieillissement et combien d’autres maux, est aujourd’hui possible en neutralisant les causes que la nature provoque.
Et tout ceci, dans une simple chambre à coucher et pendant son sommeil.
Alors stop : arrêtons de nous plaindre et agissons.
Si l’Etat faisait l’effort de faire cet investissement, d’un coût ridicule, vous n’auriez plus à courir après 40 milliards pour votre budget annuel.
C’est 350 milliards que ne dépenserait plus la France.
Monsieur Bayrou, vous êtes plein de bon sens, votre récent discours l’a prouvé.
Personne ne souhaitera travailler plus.
Faisons en sorte que nous ayons une autre santé pour produire mieux et plus longtemps.
Ecoutez la voix d’un petit ingénieur, qui par sa découverte résoudra tous vos problèmes financiers et sociaux.
N’écoutez plus la voix de ceux qui ont fait de nous des fantômes et des zombies, par simple intérêt financier.
Hippocrate doit se retourner dans sa tombe.
Ecoutez la voix du bon sens.
Même si aujourd’hui vous êtes incrédule, le doute conduit toujours à l’évidence.
Refuser de combattre les dérives de la nature, les Français ne vous le pardonneront pas.
L’investissement nécessaire est si ridicule que l’on s’étonnera que vous ne l’ayez pas fait.
C’est en route, forçons la marche à pas de géants, et la France en bonne santé fera des miracles.
Ce n’est pas en disant « je ne sais pas » qu’on résoudra les problèmes.
N’attendons pas que le ciel nous tombe sur la tête.
Je veux faire une autre analyse
Produire, c’est bien, faut-il encore pouvoir le vendre. Et c’est là que se pose le problème.
Ce n’est pas parce que nous ne travaillons pas assez mais c’est simplement les charges qui rendent le produit non compétitif.
Oui, ce sont les charges qui accablent nos produits dans les conditions actuelles de vie.
Sur 70 millions de Français, il n’y a guère plus de 20 millions qui travaillent et, parmi ces 20 millions, il y en a 10 de malades. Comment voulez-vous, dans ces conditions, résoudre la dette ?
Notre lendemain n’est pas assuré et même si la dette mettait un peu de temps à se résoudre, prenons le bon chemin et ceux qui attribuent les notations financières le comprendront bien.
Ils ne demandent pas à la France des miracles, ils lui demandent simplement de revenir sur le droit chemin de la compétitivité.
Oui, Monsieur le Premier Ministre, c’est en régulant les dérives de la nature que l’on parviendra à redonner aux Français une autre vie. Plus encore, 350 milliards d’économiser, chaque année, sur les dépenses de santé, pourront résoudre tant d’autres problèmes de défense et de sécurité.