Terre, Lune, Mars

L’homme a toujours voulu conquérir l’impossible.

Il a oublié de conquérir les dérives de la nature.

La Lune tourne autour de la Terre, Mars tourne autour du Soleil.

On n’est plus du tout dans la même échelle.

Pour la Lune on parle de milliers de km de distance, pour Mars, il s’agit de millions, c’est-à-dire 1 000 fois plus.

L’homme ne se contente pas d’être sur terre, il veut connaître ce qui l’entoure et, à ce régime, il n’a pas fini de conquérir car il a la tête dans les étoiles.

Moi, je me contente de réguler les dérives de l’invisible.

Si l’on veut aller très loin, il faut ménager sa monture.

En effet, pour aller sur Mars, il serait utile de redonner à l’homme toutes ses capacités physiques et accroître ses capacités intellectuelles.

Il faudra qu’il conserve son mental et, pour aller sur Mars, le mental est un élément déterminant.

Il est vrai que sur Mars, la lumière n’est qu’à 40% par rapport à celle de la Terre.

Travailler sur l’invisible, c’est rester les pieds sur terre pour réguler les dérives des piliers de notre vie.

Passer d’un millier de km à des millions paraissait invraisemblable.

Donner à l’homme une vie dont la durée sera multipliée par x années peut paraître aussi difficile mais c’est à cela que je me suis attelé.

L’homme veut toujours mettre la charrue avant les bœufs.

Combattre les dérives de la nature, comme le chaud et le froid, comme les variations de pressions atmosphériques et magnétiques est aujourd’hui possible.

Se mettre à l’abri des rayonnements cosmiques est à la portée de l’homme qui ne s’en est toutefois guère inquiété.

A ce jour, peu de personnes sont allées dans l’espace.

Des milliards de gens vont pouvoir vivre en pleine forme et multiplier leur durée de vie par x.

Aller sur Mars est un rêve d’enfant mais aller sur Mars, ce n’est pas non plus conquérir le cosmos.

Il faudra encore multiplié par 100 000 les distances à parcourir.

Ils sont des centaines de milliers à travailler sur le projet de Mars et, pour l’instant il n’y en a qu’un seul qui travaille sur la durée de vie…

 

L’OMS au pied du mur

L’Organisation Mondiale de la Santé va devoir modifier le futur de notre santé.

A ce jour, cette organisation a échoué.

Elle s’est contentée de faire des constats et n’a rien résolu si ce n’est d’être le fabricant de préservatifs et de masques directement ou indirectement.

Soigner était sa devise, éviter d’avoir à soigner sera ma devise.

Dès à présent, les immeubles ou les maisons individuelles, devront être équipés en conséquence.

Ceci permettra à nos cellules de vivre sans rupture d’oxygène.

Profiter d’une autre vie dans un autre monde, est une nécessité absolue pour tous si nous voulons, un jour, aller sur Mars.

De nouvelles règles vont devoir s’imposer dans le monde médical afin que tous puissent bénéficier de la régulation des pressions atmosphériques et des flux magnétiques.

L’OMS se doit de favoriser ce futur pour nos enfants mais aussi pour nous.

Changer le monde paraît être insolent mais conserver sa vie est un devoir.

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