A ce jour, 60% de votre salaire, directement ou indirectement, sont attribués à la santé, auxquels il faut ajouter les cotisations patronales.
Cela ne saurait perdurer dans le monde entier.
Là où il n’y a pas de Sécurité Sociale, le problème est le même car c’est vous qui payez les frais de santé directement.
En Europe, la contribution face à la santé permet, du plus riche au plus pauvre, d’être soigné.
Dans le fond, rien ne change, c’est la santé qui coûte.
Il appartient donc d’y apporter une solution.
C’est aux causes qu’il faut s’en prendre et mener une guerre impitoyable.
Ce qui est terrible, c’est le fait que nous savons le faire en s’attaquant essentiellement aux dérives des éléments de la nature.
Ces dérives, nous savons les réguler.
Oui, la santé est la banque de tous, sans exception.
Gagnons cette bataille contre la maladie, contre la vieillesse, et l’on s’enrichira de 50% de notre salaire et même beaucoup plus en ce qui concerne la durée de vie.
Une durée de vie sans maladie, sans vieillesse, c’est aussi gagner la possibilité d’une durée réduite du temps de travail.
C’est l’abolition de la fatigue tout en produisant plus.
Je ne serai pas Trump mais beaucoup plus encore en donnant la joie de vivre et de vivre très longtemps, en pleine forme.
Oui, la santé est la banque du monde.
Vous n’aurez plus de compte en rouge et tout ceci sera profitable tant aux riches qu’aux pauvres.
L’Etat de droit
Rien que la loi, rien que l’Etat de droit.
Bien sûr, mais la loi peut avoir ses lacunes en raison de l’évolution de la société.
Il faut accepter que certaines lois ne soient plus en conformité avec le droit européen.
Et je l’ai prouvé.
Trop souvent, on est obligé de se mettre hors la loi pour établir le bon sens de la loi qui entrave notre liberté et celle des Français.
Non, la loi n’est pas toujours le droit qui doit être appliqué par tous les Européens.
- Ce fut le cas pour le prix des carburants.
- Ce fut le cas pour la distribution des automobiles en Europe.
- Ce fut le cas pour le monopole des pompes funèbres et ce sera encore le cas pour la liberté des médecins.
Là comme ailleurs, la libre concurrence doit être le droit.
Aujourd’hui un médecin qui n’est pas en conformité avec le Conseil de l’Ordre, est radié.
Si la médecine n’a pas suffisamment progressé, c’est par refus de la liberté pour les médecins mais aussi pour les ingénieurs et les techniciens qui sont de plus en plus indispensables pour soigner ou éviter les maladies et le cours de la vieillesse.
Ce que j’ai trouvé, ce n’est que la jonction du visible et de l’invisible.
Oui, il faut accepter la possibilité de changer notre histoire de vie dans la qualité et dans la durée.
Mettre à jour l’invisible et les terribles conséquences d’une nature en folie, assassine, est de notre devoir.
Ne plus entendre le « je ne sais pas », sera un grand pas pour l’homme, maître de sa vie.
C’est cela la liberté.